Publiée le 19 novembre 2021, cette étude menée par deux chercheurs en biologie moléculaire et en génomique intégrative à l’université de Princeton, indique que différents mammifères pourraient avoir été exposés à des types différents de coronavirus au cours de leur évolution. Les résultats de cette étude soulèvent la possibilité que certains types de rongeurs modernes pourraient être des porteurs asymptomatiques de coronavirus de type SRAS. Ces espèces seraient plus résistantes et tolérantes que d’autres. Elles pourraient constituer un immense réservoir de virus aussi nouveaux que dangereux pour l’Homme. Dans le monde entier, les rats et les souris propagent plus de 35 maladies, dont la leptospirose. Ces maladies, parfois silencieuses chez l’animal, peuvent être transmises à l’homme directement par leurs déjections, ou indirectement par l’eau contaminée. Les mesures préventives collectives tels que la lutte des réservoirs, la gestion des déchets et le nettoyage régulier des locaux sont indispensables pour limiter leur propagation.
Pour en savoir plus : 👉 COVID-19 : Les rongeurs, réservoirs possibles du virus ? | santé log (santelog.com)
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